lundi, 17 juin 2013 17:02

Et si l'Atlantide ...

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L'ATLANTIDE ou la fin d'un mythe

Introduction

Ce qu'on a pris l'habitude de ranger sous le vocable d' « Atlantide » ne désigne pas en fait un endroit précis, mais bien plusieurs bandes de terre qui ont sombré dans l'océan. « Atlantide » est un terme qui veut dire en réalité « terres englouties ». Il pourrait donc s'appliquer à n'importe quel continent disparu. Mais c'est sous ce nom que l'on connaît le monde qui a donné son nom à l'océan atlantique et c'est ainsi que nous continuerons à l'appeler.

Dans cet exposé, j'ai volontairement laissé de côté tout ce qui peut se rapporter de près ou de loin à d'autres civilisations perdues, de façon à ce que celui-ci soit le plus clair possible. Il n'est fait également aucune allusion au déluge, ce dernier méritant un article complet à lui seul.

Je vais donc tenter ici de prouver que le récit de Platon ne relève pas du mythe pur et simple, et qu'il suffit pour s'en convaincre, d'examiner attentivement les preuves dont on dispose et dont j'ai fait une compilation d'après des ouvrages de Serge Hutin, Robert Charroux et Peter Kolosimo.

J'ai volontairement ignoré Edgar Cayce ainsi que les références ésotériques du genre Livre de Thot ou Stances de Dzyan, non pas parce qu'ils sont faux ou inintéressants, mais parce que le but de cet exposé est de démontrer qu'il existe bien des preuves réelles de l'existence d'une terre ayant occupé jadis une partie de cet océan qu'on nomme « atlantique ».

Les documents

Celui par qui le scandale est arrivé est évidemment Platon. Tous ceux qui s'intéressent à l'Atlantide ont commencé par le Timée et le Critias sur lesquels je ne reviendrai pas ici. Mais il faut savoir que le récit de Platon est corroboré par de nombreux auteurs grecs et latins dont Homère, Hésiode, Euripide, Théopompe de Chio, Elien, Strabon, Diodore de Sicile, Proclus, Pline, Tertullien et Sénèque. Certains rapportent la tradition, d'autres donnent des détails significatifs et appréciables.

Les hiéroglyphes de la Pyramide mexicaine de Xochicalco parlent « d'une terre située au milieu de l'océan, détruite » et de ses habitants « tués et réduits en poussière ».

Un texte maya traduit en 1930 rapporte que « au onzième jour Ahau Katun, le malheur arriva... Une pluie très violente tomba, des cendres tombèrent du ciel et en une immense vague, les eaux de la mer se renversèrent sur la terre... et le ciel s'anéantit et le continent s'enfonça... et la Grande mère Seyda se trouva au milieu des vestiges de la destruction du monde ».

Un manuscrit pré-maya datant d'il y a 3500 ans, sans doute recopié d'après un original plus ancien encore, parle de lui-même :

« en l'an 6 du Kan, le 11 Muluc du mois de Zac, il y eut de terribles tremblements de terre qui continuèrent jusqu'au 13 Chuen-Mu. La région des collines d'argile fut sacrifiée : après s'être deux fois soulevée, elle disparut durant la nuit, tandis que la terre ne cessait de trembler. Le sol s'abîma puis émergea plusieurs fois sur des points différents de la mer. A la fin, le continent éclata puis se partagea en beaucoup de morceaux et, au milieu des convulsions, il disparut avec ses 64 millions d'habitants ».

Je dois préciser qu'il n'est pas certain que ce manuscrit parle de ce qu'on appelle l'Atlantide. Certains y voient la relation de la destruction de Mu, le grand continent perdu du Pacifique.

Il est toutefois très intéressant parce qu'il nous prouve à lui seul qu'il a effectivement existé dans le passé, un continent qui s'est abîmé dans les flots..

Il est impossible évidemment, de ne pas parler du papyrus de la XII dynastie égyptienne conservé au musée de l'Ermitage à Léningrad qui décrit l'engloutissement de « l'île du Serpent » qui n'était autre que l'Atlantide : « une étoile tomba jadis des cieux et les flammes consumèrent tout. Tous furent brûlés et moi seul eus la vie sauve. Mais lorsque je vis la montagne de corps entassés, je mourus presque de chagrin à mon tour ».

Les archives secrètes coptes d'Egypte parlent de la terre ferme existant à la place des flots de l'Atlantique nord.

Une pierre de la Porte des Lions à Mycène, porte cette inscription : « les égyptiens descendent du fils de Thot, prêtre égyptien de l'Atlantide ».

Les inscriptions du temple de Ramsès III à Medinet-Habou, nous apprennent que les Atlantes entreprirent une grande expédition vers le sud, occupèrent la Grèce (sauf Athènes et l'Attique), débarquèrent en Crète et à Chypre, poussèrent jusqu'en Asie Mineure et attaquèrent l'Egypte par terre et par mer. Au cours de cette entreprise, ils purent franchir le delta du Nil avec une puissante flotte, mais ils furent finalement battus. L'histoire grecque confirme qu'une invasion de ce genre eut lieu, ayant pour auteurs les Hyperboréens qui, venant de la mer du Nord, traversèrent la Méditerranée après avoir fait alliance avec les habitants de l'ancienne Italie et avec les Libyens. Hyperboréens et Atlantes n'étaient-ils qu'un même peuple ? Il semble qu'il n'y ait aucun doute à ce sujet, car des peintures murales égyptiennes représentent les conquérants avec sur la tête des casques à cornes, munis de boucliers ronds et leurs femmes coiffées de longues tresses.

Les inscriptions disent que les atlantes étaient « venus des îles et de la terre ferme placée sur le grand cercle d'eau du bout du monde et du neuvième arc ». Or ce neuvième arc, selon la subdivision effectuée par les égyptiens, puis reprise par les grecs et les romains, comprend à peu près la zone placée entre le 52e et le 57e degré de latitude nord. Là-bas, d'après les anciens, le jour dure 17 heures, ce qui correspond bien au 57e parallèle. Pline le Vieux spécifie que le neuvième arc passe par Hyperbores et Britanniam.

Les Purana hindoues citent « une grande terre, très puissante, se trouvant dans l'océan atlantique ». On a toutes les raisons de croire ce poème très ancien car il parle de cette terre comme de quelque chose de contemporain. Le Mahabharata raconte également « l'histoire des sept grandes îles de la mer d'occident, dont le royaume avait pour capitale la ville des trois montagnes que Brahma détruisit ».

Des documents asiatiques affirment que « l'empire de la mer d'occident » fut englouti par les flots à la suite de terribles bouleversements, et on retrouve la même tradition dans l'ancienne Amérique.
Les légendes et les faits réels

Quand Cortez et sa clique débarquèrent chez les Aztèques, les indiens disaient avoir été civilisés autrefois par des hommes divins, à la peau blanche et barbus, venus de l'est, ce qui explique pourquoi ils crurent à un retour des dieux blancs.

Chez diverses tribus africaines du golfe de Guinée, on peut trouver l'équivalent de la légende mexicaine des dieux blancs civilisateurs, venus de l'ouest cette fois, de la région actuellement recouverte par les eaux de l'Atlantique.

Les mayas se considéraient comme les descendants d'une population divine, venue « du côté du soleil levant », et rescapée d'une terre mystérieuse effondrée jadis dans l'océan oriental. A noter la comparaison entre la civilisation des Mayas et celle de l'Egypte : elles ont probablement eu jadis une source commune, mais situées très loin l'une de l'autre, elles ont fini par évoluer différemment.

Une légende maya raconte : « les dieux blancs vinrent il y a très longtemps, de l'orient... de gigantesques navires accostèrent à nos rivages, des navires aux ailes de cygnes... et c'était comme si d'immenses serpents glissaient sur l'eau, tant étaient lumineux les flancs des bateaux. Quand ils touchèrent la rive, des hommes blonds à la peau blanche en descendirent. Ils portaient des costumes noirs, décolletés en rond et ouverts devant, avec des manches larges et courtes. Ils arboraient sur le tête un diadème en forme de serpent ».

Binotros, pharaon de la II dynastie, envoya, conte le père Perroud dans « l'Empire de l'arc-en-ciel », une expédition vers le littoral de l'Atlantique « à la recherche de la terre atlante d'où 3350 ans plus tôt, les aïeux des égyptiens étaient venus, apportant la sagesse de la terre natale ». Ils n'en trouvèrent évidemment plus aucune trace.

Dans la tradition égyptienne, le pays de Pount est une contrée non précisée géographiquement où les navigateurs allaient chercher l'encens, la myrrhe, le bois précieux, etc... Certains spécialistes, dont une égyptologue, l'ont placé dans une île immense aux incalculables richesses, d'où étaient originaires les initiateurs ou serviteurs d'Horus. Pour les égyptiens, Pount était la terre divine, vénérée, où la race Humaine avait pris naissance.

Les peuplades rescapées retransmirent à leurs descendants le souvenir de la catastrophe qui avait frappé le continent. Le pays de l'Ouest devint à jamais et dans toutes les parties du monde, le Royaume des Morts. Non pas parce que le soleil s'y couche chaque soir pour les européens, mais parce que les Grands ancêtres atlantes y reposaient. Le Royaume des Morts est le pays des ancêtres et l'Atlantide. Le paradis vert des égyptiens et le Pays des aïeux des peuples jaunes sont situés à l'ouest, non pas en Afrique ou en Europe où le soleil se couche, mais dans l'océan Atlantique entre les Açores et Thulé.

Les Egyptiens établissent exactement le lieu d'origine de leurs ennemis : « les Atlantes avaient leur rocher royal sur l'île Basileia. Fière comme si elle avait été taillée dans la masse, émergeant sur la mer avec ses rochers rouges, blancs et noirs, riche de cuivre et de minerais de cuivre ».
Or la seule île de ce genre existant au monde est Héligoland, et c'est exactement là, qu'après des investigations sous-marines, le pasteur Spanuth découvrit la hauteur sur laquelle se voient les ruines de la citadelle et du temple, à l'extrémité d'une route parfaitement pavée.

A noter que le nom qui désignait autrefois Héligolant est.... Atland.

Une tribu d'indiens blancs vivait jadis au Vénézuela dans un village qui portait le nom de Atlan. Elle maintenait la tradition d'un désastre qui avait détruit son pays, une vaste île de l'océan...

Quand les espagnols, au début des grandes découvertes maritimes de la Renaissance, accostèrent aux Canaries, ils trouvèrent ces îles habitées par une population de race blanche et de très haute stature, les Guanches, que les conquérants s'empressèrent de massacrer pour faire place nette. Les Guanches vivaient dans des conditions lamentables, mais il ne s'agissait pas de véritables primitifs. Ils étaient tombés dans un tel état de décadence qu'ils ne pouvaient même plus se bâtir des huttes, mais ils avaient pourtant connu autrefois un très haut degré de civilisation. Ils avaient su construire non seulement des maisons, mais des villes ; ils avaient su sculpter et peindre ; ils avaient connu une technique d'embaumement avancée : on a découvert aux Canaries de nombreux corps dans un état de conservation remarquable. Ils utilisaient en outre une écriture complexe. Les Guanches n'auraient-ils pas été de souche atlante ? En effet, les Açores, les Canaries et les îles du Cap Vert peuvent être considérées comme des vestiges du continent englouti dont ces îles constituaient autrefois les sommets les plus élevés.

Dans les villages du pays Basque, on entendait il n'y a pas si longtemps encore, une légende qui disait qu ' « il y eut un terrible cataclysme au cours duquel l'eau et le feu s'affrontèrent ; mais les ancêtres des basques se réfugièrent dans des cavernes et survécurent ».
La langue basque, en outre, ne ressemble à aucune langue européenne morte ou vivante ; on ne lui connaît d'affinités qu'avec certains dialectes indiens d'Amérique latine. Et ce n'est sûrement pas une coincidence si un missionnaire basque a pu prêcher en sa langue natale aux indiens de Peten au Guatemala où les indigènes l'ont parfaitement compris ! Comment expliquer ce fait si ce n'est par une origine commune ?
Les indices attestant de la réalité de l'Atlantide

Les « formigas », îles nombreuses autour des Açores, constituent des écueils pour la navigation, comme le mentionne le Timée,

La ligne de fracture, appelée « dorsale atlantique », qui va de l'Islande à l'Antarctique, et qui ressemble à une cicatrice,

Entre la dorsale et les continents, on retrouve le lit sous-marin des fleuves Hudson, Loire, Seine, Rhin, etc...

En 1898, un navire poseur de câbles a ramené d'un fond atlantique de 3000 m, de la lave vitreuse ayant la composition chimique des basaltes. Cette lave, qui est entreposée au musée de l'Ecole des Mines à Paris, n'a pu se consolider à cet état qu'à la pression atmosphérique normale. Il en découle que le fond de l'Atlantique à 55 miles au nord des Açores, a été recouvert de coulées de lave quand il était émergé.

Un professeur de minéralogie et de géologie à découvert dans l'Atlantique nord, une montagne inconnue, qu'elle croit être le vestige d'un continent ayant existé il y a 15 000 ans.

Platon ne pouvait deviner l'existence de cette lave, de cette épine dorsale atlantique, de la date précise du déluge qui n'est connue que depuis 1964, de la mer des Sargasses, du continent américain situé au-delà de l'Atlantide, de l'existence du Gulf-Stream quand il parle d'une source d'eau chaude et d'eau froide à la fois (cf. Critias). Il ignorait aussi que selon la théorie de Wegener, la dérive des continents expliquerait le démantèlement de la grande île située sur la ligne de fracture terrestre.

Les inslandis de l'Amérique et de l'Europe se présentent comme s'ils faisaient partie d'un inlandsis général s'étendant sur la surface actuellement occupée par l'océan. On est donc sûr qu'à l'époque glaciaire, un continent émergeait au milieu de l'Atlantique.

On remarque une singulière analogie entre la flore miocène de l'Europe et la flore actuelle de l'Amérique orientale.

Les pétrels, oiseaux migrateurs, traversent l'Atlantique d'Europe en Amérique, de septembre à octobre. Arrivés à environ 600 miles au S-O du Cap Vert, ils se mettent à tourner en rond, longuement, puis repartent vers le Brésil. Leurs chromosomes-mémoires leur disent qu'il existait jadis à cet endroit une escale terrestre : l'Atlantide.

La reproduction des anguilles, dont les femelles habituées aux eaux terrestres, vont frayer dans la mer des Sargasses, dans laquelle aucun navire à hélice ne se hasarde à cause des algues dont elle est encombrée et dont Platon dit dans le Timée : « voilà pourquoi, aujourd'hui encore, cet océan de là-bas est difficile et inexplorable par l'obstacle des fonds vaseux et très bas que l'île, en s'engloutissant, a déposés ».

Il reste enfin à parler de Bimini road. Je laisse pour ce faire, la parole à M. Fred Idylle, créateur du remarquable site Artivision, dont je reproduis une partie du texte et qui semble entre autre, partager mon point de vue personnel au sujet des découvertes qui mettent la science mal à l'aise :

C'est pendant le mois de Septembre 1968 que l'équipe du professeur MANSON VALENTINE, œuvrant pour le Musée des Sciences de Miami en Floride, découvre au nord-ouest de Bimini, petite île des Bahamas, à environ 1200 km de la Guadeloupe, des structures cyclopéennes immergées à environ 6 mètres sous la surface de la mer. Cette découverte fut rendue possible grâce à l'engin Remora M-114-E, scooter sous-marin construit par Dimitri Rebikoff, explorateur, ingénieur spécialisé dans le domaine de la photographie sous-marine et grâce également au concours de Paul Aranda aviateur et de Robert MARX, célèbre plongeur , passionné de recherches sur les anciennes navigations et sur l'archéologie sous-marine des îles Bahamas. Voyez donc l'image ci-dessous:

C'est en fin de 1971, que les chercheurs découvrirent qu'il s'agissait d'une gigantesque structure de la forme d'un grand U pouvant faire office de port dont la jetée courbée mesurait plus de 600 m de long sur 10 m de large et formée de blocs de pierres dont la constitution ne présente aucune ressemblance avec les formations naturelles qu'ils surplombent.

Ces blocs sont régulièrement alignés, parfaitement à l'équerre dans leurs trois axes et assemblés par une sorte de ciment. Certains d'entre eux avaient près de 5 m de côté et leur épaisseur variait entre 50 et 150 cm , ce qui parfois correspondait à une masse d'environ 5 tonnes par bloc. De plus on constata en effectuant des tranchées d'exploration que certains de ces blocs étaient posés sur des piliers carrés de 30 cm de hauteur, ce qui détruisait définitivement la thèse de certains géologues, comme le nommé Harrison qui d'emblée sans attendre la fin de l'exploration de l'équipe "Valentine" avaient déclaré que le mur de Bimini était un ensemble d'origine strictement naturel. Par la suite on découvrit encore aux alentours de Bimini d'autres structures de formes linéaires, rectangulaires, polygonales et même pyramidales .

Mais quel pouvait être l'âge de ces constructions? Des études de datation au carbone 14 estimèrent que pour une profondeur de 6 m, ces structures devaient être à la surface il y a environ 10000 ans , ce qui ne signifie pas qu'elles venaient d'être édifiées à ce moment là . Mais en ce qui concerne les bâtisseurs, c'est le mystère le plus total. En effet rien de ce qui nous est connu de l'histoire des amérindiens (qui remonte à environ 2000 ans avant J.C) ne nous permet la moindre hypothèse concernant le peuple qui vivait à cette époque et même en Europe aucune peuplade n'aurait été capable en cette période d'édifier une construction aussi monumentale. C'est pourquoi il valait mieux étouffer cette affaire dans l'œuf , comme certains ont cru devoir le faire aisément. Quelques revues sérieuses en ont cependant fait état sommairement: Science&Vie n°640 de Jan. 1971-Sciences et Avenir les numéros 286, 291, surtout 298 de Dec.1971, puis vint l'ouvrage de Pierre Carnac: "L'Histoire commence à Bimini" hez R. Laffont 1973

Il est cependant à noter un fait étrange concernant le site de Bimini. Le 14 Août 1926 soit 42 ans plus tôt dans une déclaration faite sous hypnose contrôlée et référencée sous le N°996-1, (et surtout sans que l'on ne lui ait rien demandé à ce sujet), le fantastique thérapeute et médium américain EDGAR CAYCE révélait que sur le plateau de Bimini avait existé jadis une formidable civilisation, (Voir les remarquables ouvrages:"les Mystères de l'Atlantide revisitée" de E.E Cayce, aux Editions de Mortagne 1994, ou "l'univers d'Edgar Cayce"de D.K. de BIZEMONT n° 2786 Ed. de poche J'AI LU New Age ), et en 1933 , il révélait aussi que : "des vestiges des temples de Poséidia, portion engloutie de l'Atlantide, allaient ressurgir de la vase des fonds sous-marins près de l'île de BIMINI au large de la Floride et probablement vers les années 1968 ou 1969 ".

Tout ceci semble donc bien lui donner raison. Ainsi donc, la découverte des structures cyclopéennes de Bimini , illustre encore admirablement, le majestueux passé des civilisations anciennes , dont il ne demeure hélas, pour activer l'éveil de la mémoire fugitive et pourtant orgueilleuse des hommes , que l'alignement de pierres gigantesques, toujours plus énigmatiques.

Ce que je crois

Je ne sais si cette histoire d'Atlantide va faire encore couler beaucoup d'encre.... Il est cependant indéniable qu'il se trouve de plus en plus de gens qui, à défaut de croire aveuglément, se prennent à douter. C'est à mon avis un état d'esprit salutaire, et il n'est sans doute pas inutile de rappeler qu'en toute circonstance, le principal est de garder l'esprit ouvert, ne jamais dire que ceci ou cela est impossible, car ce qui paraît impossible aujourd'hui sera probablement possible demain. De même, j'ose espérer qu'après avoir lu ces lignes, les personnes qui nient encore farouchement l'existence de l'Atlantide seront amenées à réflechir et à se documenter davantage. Mon souhait le plus cher serait qu'on en arrive à se dire : « après tout, pourquoi pas ? » Ce n'est qu'avec cette tournure d'esprit qu'on arrive à progresser, et il n'est pas impossible que dans quelques décennies, l'histoire de l'Atlantide soit inscrite dans les programmes scolaires, au même titre que celle de l'Egypte ancienne, car bien des choses doivent être découvertes encore et révélées dans les temps qui viendront.

Il existe quelques endroits de par le monde qu'on appelle « capsules du temps », et dans lesquelles ont été entreposées par des Anciens plus sages et avisés que les autres, toutes les preuves de l'existence de grandes civilisations nous ayant précédé sur Terre (documents écrits, machines, enregistrements...) qui attendent patiemment le moment où l'espèce humaine, devenue apte à comprendre et à utiliser les moyens laissés par nos ancêtres, les découvrira et fera usage de ce qu'elle y trouvera à destination du Bien. Les Hommes apprendront ce qui a causé la perte du continent qu'on a appelé l' « Atlantide », qui ne fut autre que l'explosion de bombes de plus en plus grosses, de plus en plus dévastatrices, mises au point par les « savants fous » de l'époque dans le contexte de terribles guerres.

« Au peuple de l'Avenir, s'il doit y en avoir un.....car l'Humanité va probablement se détruire elle-même....

Dans ces souterrains sont entreposés des documents sur nos réalisations et nos erreurs, dans l'espoir qu'ils seront profitables à la race future qui aura l'intelligence de les découvrir et de les comprendre »

(Meriten 29/5/2005)

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