mercredi, 25 février 2015 00:00

Schubert au violoncelle

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Le violoncelle si sensible et si profond s'accorde particulièrement au langage schubertien.

La sonate pour arpeggione D821 est un exemple de perfection dans ses trois mouvements Si différents dans leurs tonalités sentimentales et parfaitement équilibrés ils illustrent  bien  le discours contradictoire où le compositeur ne veut se résoudre à privilégier les variations de ses émotions

Mouvement 1  : allegro moderato , que je qualifierai d'exposition, de mise  en scène

Mouvement 2 : Adagio où regrets, nostalgie, profonde tristesse , désespérance semblent dominer 

Mouvement 3 : allegretto ,place à la légèreté, à la vie....

Ici grâce au duo  Rostropovich/Britten

 

(Image de présentation : Répudiation d'Agar par  Claude Gelée dit Le Lorrain  (1668)

Lu 4956 fois Dernière modification le dimanche, 10 mai 2015 02:23

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