MJ
Ernst Jünger
Tchékhov Anton
Tourgueniev
Littérature russe
Chants 7. 8. 9 .10
Gallen-Kallela Askeli
Aïno, chants 3, 4, 5 et 6
Chant 3
Rivalité de Vainämöïnen et de Joukahainen. Victoire de Vainämöïnen à qui son adversaire promet sa soeur Aïno.
Gauloiseries
Lug/Lugus Dieu gaulois
Dieu de la lumière, du voyage et des arts: Anton Glita "Le mystère de ma passion"
Il apparait dans la mythologie celtique , puis repris dans les mythologies irlandaise, brittonnique et gauloise .
Selon l'universitaire Patrice Lajoye, son culte dans la Gaule christianisée sera poursuivi par celui de saint Léonard, représenté tenant des chaînes et qui balise les frontières d'espaces géographique .voir Le dieu Lug sur Wikipédia
Stravinsky : trois mouvements de Petrouchka transcrits pour piano (Nour Ayadi)
Note de programme : Petrouchka fut initialement conçu comme une pièce de concert pour piano et orchestre, sorte de divertissement dans l’attente de la symphonie païenne du Sacre. Une œuvre laboratoire dont les dissonances et superpositions bitonales allaient heurter l’auditeur, mais qui devaient pour l’heure être chaleureusement accueillies....
Ses concertos pour violon et piano
Concerto pour violon n°1 opus 19
Autres oeuvres moins connues
Ouverture sur des thèmes hébreux opus 34
Laurette ou le cachet rouge
Saint Saëns Camille
La colère de Samson
Un poème diablement (mais superbement) misogyne) On est tenté de se rappeler la rupture orageuse du poète avec Marie Dorval qui l'a quitté en 1838 pour Jules Sandeau. (le poème est de 1839).
La vierge au fuseau
Dans l'Empire Mongol par Jean de Plancarpin
Textes rassemblés, présentés et traduits du latin par Thomas Tanase.
Au début du XIIIème s , les hordes d’Ogodeï, le fils de Gengis Khan, déferlent sur le nord-est de l’Europe, et ravagent tout sur leur passage, puis s’en retournent. L’Occident est glacé d’effroi ; le pape Innocent IV décide d’envoyer une ambassade au grand khan mongol pour tenter de comprendre.
Dans l'Empire Mongol
Au début du XIIIème siècle , les hordes d’Ogodeï, le fils de Gengis Khan, déferlent sur le nord-est de l’Europe, et ravagent tout sur leur passage, puis s’en retournent. L’Occident est glacé d’effroi ; le pape Innocent IV décide d’envoyer une ambassade au grand khan mongol pour tenter de comprendre.
C’est ainsi que le franciscain Jean de Plancarpin part pour l’Asie centrale en 1245,
De retour deux ans plus tard, il rédige le récit de son voyage au cœur des steppes, où il assista à l’intronisation du nouvel empereur Güyük.
La relation de Plancarpin, agrémentée des histoires fantastiques colportées le long des routes de la soie est aussi accompagnée de la traduction des lettres du pape apportées au Grand Khan et de la réponse pleine de superbe de ce dernier.
Ces textes, récits de voyage et documents exceptionnels, ouvrent grand les portes de l’Empire mongol au faite de sa puissance.
Textes rassemblés, présentés et traduits du latin par Thomas Tanase.
(Quatrième de couverture :Editions Anacharsis, collection de poche 2018)
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